Finalement, l'équipe de tir à l'arc de Porcinette a empoché la médaille d'argent, donc ça valait le coup de se lever à point d'heure et de se prendre un bon gros coup de stress mercredi matin. Nous n'aurons pas souffert en vain.
Quant à moi, comme dit précédemment, en cette fin de semaine j'étais à Pau pour servir la science. Et comme je suis une aventurière des temps modernes, j'ai décidé de rentrer à Paris en train de nuit, histoire d'être à la maison dès le samedi matin au lieu de passer la moitié de mon samedi dans un TGV (j'adore le TGV, mais en semaine, le week-end je préfère rester glander pépouze chez oam). J'écris donc ces lignes depuis ma cabine de 1ère classe, que c'est juste un wagon avec quatre couchettes au lieu de six, mais ça suffit à le rendre nettement plus confortable que la bétaillère ordinaire (notamment parce que on tiens assis sur la couchette, ce qui permet donc de mater des films sur l'ordinateur sans se flinguer le dos).
Reste encore à savoir si demain je serai fraiche et dispose en arrivant à Austerlitz, mais en tout cas ça s'annonce mieux que mon périple niçois d'il y a deux ans.
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