En ce jour de fête du slip des fachos outre-Atlantique (et aussi tout autour de la planète), je veux bien croire qu'on est le lundi le plus déprimant de l'année.
Ironie du sort, samedi soir on s'est regardée Hunger Games avec Totorelle (parce qu'elle a commencé à lire les bouquins) et douze ans après sa sortie, le film reste étrangement d'actualité.
(Pour mémoire, on a un lien particulier avec cette série de films depuis qu'ils sont passés tourner le quatrième opus, celui avec des scènes du Capitole, à Ivry il y a une dizaine d'années)
Et tout ça me rappelle également qu'il serait grand temps que je me bouge le popotin et que je retourne aux entrainements de tir à l'arc même si on se les pèle dans le gymnase.
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