Accéder au contenu principal

Les Gros Manches sur le pied de guerre

 L'Homme est rentré de Suède hier soir, et maintenant on a plein de gâteaux en réserve. 

Aujourd'hui, c'est la session essayage pour s'assurer que tout le monde a une tenue qui va bien pour le jeu de rôle de demain, ce qui signifie que je vais voir défiler des tuniques, des capes et des armures à gogo (surtout que si j'ai bien compris, les deux grandes manchottes jouent des orcs, donc il leur faut de quoi impressionner les joueureuses les plus jeunes). C'est rigolo, parce que dans le même temps, j'ai enfin trouvé la motivation pour me coudre une chemise dans un des nombreux coupons de Liberty qui attendaient leur tour dans mes réserves. Donc clairement, en terme de look, c'est une peu deux salles deux ambiances chez les Gros Manches.

Et ça c'est l'ambiance dans mon salon aujourd'hui.


Commentaires

Best of du mois dernier

Septembre 2025, un sac à main

Or donc, comme dit précédemment , cette année pour son anniversaire, Totorelle a déclaré qu'elle voulait un sac à main. Sauf que tous les modèles qui lui plaisaient en ligne étaient des merdouilles vendues sur des sites de dropshipping et que du coup j'ai dit non, ça va pas le faire. Jusqu'à ce que ma fille m'envoie le lien vers  un tuto vidéo en me demandant si ça me semblait faisable à la maison. Et là j'ai dit banco. Le mois dernier nous sommes donc allées ensembles nous approvisionner en simili-cuir au Marché Saint Pierre. En ce qui concerne la doublure j'avais déjà un reste de cotonnade marron qui ferait parfaitement le taf. Et j'ai aussi profité de notre sortie pour acheter des aiguilles spéciales cuir pour ma machine à coudre et du fil renforcé.  Par contre j'ai pas réussi à retrouver du matériau rigide pour le fond de sac. Au bout de quatre merceries une gentille dame m'a indiqué que ça s'appelait du Jeffytex , mais qu'ils n'en ...

RTGros Manches, pour de bon en France

Je suis donc rentrée à la maison vendredi après-midi, avec tout de même une connexion régionale de Mainz à Mannheim qui est arrivé à destination avec 40 minutes de retard, pour un temps de trajet... de 40 minutes aussi.  C'est bien, c'est carré, mais bon comme je suis pas née de la dernière pluie, j'avais prévu deux heures pour ma correspondance donc j'étais large (j'ai même eu le temps de passer m'approvisionner au Dunkin' Donut de la gare, c'est dire). À Mannhein, j'ai quand même pu constater que 75% des trains affichés sur le panneau des départs avaient déjà au moins dix minutes de retard (et parfois beaucoup plus) avant même d'être partis. Tout cela ne m'a pas empêchée d'arriver en temps et heure à Paris (merci la partie SNCF du trajet) et c'een est donc fini pour un moment de mes pérégrinations internationales, puisqu' a priori, je ne quitte plus la France jusqu'à l'année prochaine (et d'ici là j'ai juste un m...

La minute culturelle des Gros Manches

Bon, j'étais mauvaise langue , la vraie vraie star de Mainz, c'est bien sûr Johannes Gutenberg, puis qu'on y trouve sa maison natale, son premier atelier, le musée à son nom, la place Gutenberg, le chemin Gutenberg (pour marcher sur ses pas), l'université Gutenberg et la salle de conférence dédiée dans le palais des congrès de la ville. Bref, à Mainz on ne rigole pas avec Gutenberg. Cela dit j'ai pu visiter le musée (du moins une sous-partie de celui-ci, puisqu'il est actuellement en travaux de rénovation) et je dois avouer que c'est tout de même super intéressant. Et en plus on a une démonstration live d'impression d'une feuille de la célèbre bibles B42 (à 42 lignes par page quoi). Où l'on se rend compte qu'imprimer des bouquins, même avec une presse, c'était pas de la tarte (compter environ trois mois de fabrication total pour l'une des célèbres bibles).

RTGM, retour à Joseon

Cette semaine je reprends le visionnage de K-Drama avec Bon appétit, Your Majesty sur Netflix, ou l'histoire d'une cheffe étoilée coréenne (mais formée en France) qui se retrouve plongée dans le passé, à la cour de Joseon, à servir un tyran fin gourmet.  On est donc sur un crossover entre drame historique et Top-Chef, y'a des costumes qui dépotent ET de la bouffe qui fait envie, franchement que demande le peuple ? Ben le peuple était parfaitement heureux, jusqu'à l'épisode 6 de la série, où l'héroïne explique doctement qu'elle a utilisé du beurre et de la farine pour préparer les coques de ses macarons.  À ce stade tou·te·s les spectateurices françai·se·s étaient en PLS et j'attends toujours le communiqué indigné de l'ambassade pour défendre notre gastronomie (qui y est plutôt bien représentée par ailleurs, le boeuf bourguignon à la mode coréenne de l'épisode 8 fait plutôt envie).

Lecture de Gros Manches

Or donc, c'est le début de l'automne.  Et pour vous consoler face aux jours qui s'amenuisent, j'en profite pour signaler la sortie du tome 7 de La Vilaine , une excellente revue dessinée en bande dont les récits s'articulent autour de la bonne ville de Rennes (ou Roazhon, si vous voulez la jouer breton). J'ai découvert ce merveilleux périodique il y a deux ans parce que ma toujours fabuleuse GM'Cousine a contribué au tome 5, et puis au tome 6.  Pour le tome 7 elle a préféré dormir (j'avoue, c'est un choix qui se défend), mais par contre elle reste au comité éditorial, ce qui est à n'en point douter une garantie de l'excellente qualité des contributions sélectionnées. Parmi celles-ci, j'en profite pour signaler un gros dossier (40 pages) sur les autrices de science fiction, qui rassemble des noms connus ou moins connus, et qui est vraiment passionnant de bout en bout. Le seul souci c'est qu'à la fin de la lecture ben votre pile de ...