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Les Gros Manches dans la rue

Hier matin, je suis allée visiter l'Invader Space Station, soit une immense expo sur cinq étage de l'artiste Space Invader (mais si vous savez, le gars qui colle des mosaïques partout dans Paris, et un peu ailleurs aussi) et même que c'était très très chouette (et tout en haut de l'expo on a une sacrée vue sur la capitale).

Sur place on trouve un plan recensant la position de tous les Invaders parisiens. Inutile de le mémoriser vous pouvez aussi l'acheter à la boutique en sortant.

On trouve aussi les photos de tous les Invaders parisiens, mais ça ne sert à rien de les flasher (vous pensez bien que j'ai essayé). Par contre l'expo abrite aussi un authentique Invader (le 992), mais je ne vous dirai pas où il est, à vous de le trouver ! 

Si vos enfants aiment bien l'appli Flash Invaders (qui permet de collectionner les invaders un peu en mode Pokémon) je vous conseille fortement d'y faire un tour (par contre c'est pas poussetto-compatible car il y a cinq étages à monter à pied). Il faut absolument prendre les billets en ligne (pas de vente sur place), mais il reste encore plein de créneaux pendant les prochaines vacances de printemps.

L'après-midi c'était la traditionnelle manif du 8 mars avec des copines, et contrairement à l'an dernier, où on avait été saucées jusqu'à l'os, cette fois il a fait un temps superbe. Résultat je suis rentrée à la maison regonflée à bloc, et j'ai convaincu Totorelle et sa BFF de venir manifester avec moi l'an prochain (vu qu'en 2025 le 8 mars tombe un samedi). Franchement j'ai déjà envie d'y être (j'ai dit que le matin on ferait un atelier coloration des cheveux en violet pour être raccord avec le code couleur de la manif')

Commentaires

Best of du mois dernier

Septembre 2025, un sac à main

Or donc, comme dit précédemment , cette année pour son anniversaire, Totorelle a déclaré qu'elle voulait un sac à main. Sauf que tous les modèles qui lui plaisaient en ligne étaient des merdouilles vendues sur des sites de dropshipping et que du coup j'ai dit non, ça va pas le faire. Jusqu'à ce que ma fille m'envoie le lien vers  un tuto vidéo en me demandant si ça me semblait faisable à la maison. Et là j'ai dit banco. Le mois dernier nous sommes donc allées ensembles nous approvisionner en simili-cuir au Marché Saint Pierre. En ce qui concerne la doublure j'avais déjà un reste de cotonnade marron qui ferait parfaitement le taf. Et j'ai aussi profité de notre sortie pour acheter des aiguilles spéciales cuir pour ma machine à coudre et du fil renforcé.  Par contre j'ai pas réussi à retrouver du matériau rigide pour le fond de sac. Au bout de quatre merceries une gentille dame m'a indiqué que ça s'appelait du Jeffytex , mais qu'ils n'en ...

RTGros Manches, pour de bon en France

Je suis donc rentrée à la maison vendredi après-midi, avec tout de même une connexion régionale de Mainz à Mannheim qui est arrivé à destination avec 40 minutes de retard, pour un temps de trajet... de 40 minutes aussi.  C'est bien, c'est carré, mais bon comme je suis pas née de la dernière pluie, j'avais prévu deux heures pour ma correspondance donc j'étais large (j'ai même eu le temps de passer m'approvisionner au Dunkin' Donut de la gare, c'est dire). À Mannhein, j'ai quand même pu constater que 75% des trains affichés sur le panneau des départs avaient déjà au moins dix minutes de retard (et parfois beaucoup plus) avant même d'être partis. Tout cela ne m'a pas empêchée d'arriver en temps et heure à Paris (merci la partie SNCF du trajet) et c'een est donc fini pour un moment de mes pérégrinations internationales, puisqu' a priori, je ne quitte plus la France jusqu'à l'année prochaine (et d'ici là j'ai juste un m...

La minute culturelle des Gros Manches

Bon, j'étais mauvaise langue , la vraie vraie star de Mainz, c'est bien sûr Johannes Gutenberg, puis qu'on y trouve sa maison natale, son premier atelier, le musée à son nom, la place Gutenberg, le chemin Gutenberg (pour marcher sur ses pas), l'université Gutenberg et la salle de conférence dédiée dans le palais des congrès de la ville. Bref, à Mainz on ne rigole pas avec Gutenberg. Cela dit j'ai pu visiter le musée (du moins une sous-partie de celui-ci, puisqu'il est actuellement en travaux de rénovation) et je dois avouer que c'est tout de même super intéressant. Et en plus on a une démonstration live d'impression d'une feuille de la célèbre bibles B42 (à 42 lignes par page quoi). Où l'on se rend compte qu'imprimer des bouquins, même avec une presse, c'était pas de la tarte (compter environ trois mois de fabrication total pour l'une des célèbres bibles).

RTGM, retour à Joseon

Cette semaine je reprends le visionnage de K-Drama avec Bon appétit, Your Majesty sur Netflix, ou l'histoire d'une cheffe étoilée coréenne (mais formée en France) qui se retrouve plongée dans le passé, à la cour de Joseon, à servir un tyran fin gourmet.  On est donc sur un crossover entre drame historique et Top-Chef, y'a des costumes qui dépotent ET de la bouffe qui fait envie, franchement que demande le peuple ? Ben le peuple était parfaitement heureux, jusqu'à l'épisode 6 de la série, où l'héroïne explique doctement qu'elle a utilisé du beurre et de la farine pour préparer les coques de ses macarons.  À ce stade tou·te·s les spectateurices françai·se·s étaient en PLS et j'attends toujours le communiqué indigné de l'ambassade pour défendre notre gastronomie (qui y est plutôt bien représentée par ailleurs, le boeuf bourguignon à la mode coréenne de l'épisode 8 fait plutôt envie).

Lecture de Gros Manches

Or donc, c'est le début de l'automne.  Et pour vous consoler face aux jours qui s'amenuisent, j'en profite pour signaler la sortie du tome 7 de La Vilaine , une excellente revue dessinée en bande dont les récits s'articulent autour de la bonne ville de Rennes (ou Roazhon, si vous voulez la jouer breton). J'ai découvert ce merveilleux périodique il y a deux ans parce que ma toujours fabuleuse GM'Cousine a contribué au tome 5, et puis au tome 6.  Pour le tome 7 elle a préféré dormir (j'avoue, c'est un choix qui se défend), mais par contre elle reste au comité éditorial, ce qui est à n'en point douter une garantie de l'excellente qualité des contributions sélectionnées. Parmi celles-ci, j'en profite pour signaler un gros dossier (40 pages) sur les autrices de science fiction, qui rassemble des noms connus ou moins connus, et qui est vraiment passionnant de bout en bout. Le seul souci c'est qu'à la fin de la lecture ben votre pile de ...